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Deltaplane, parachute, parapente, ULM, aucune activité dans les airs ne m’a offert une dose d’adrénaline comme celle ressentie lors de mon premier saut à l’élastique à Annecy. Vous souhaitez ressentir la même chose ? Voici les questions qu’il faut se poser avant de réaliser votre premier saut à l’élastique.

Quel type de saut à l’élastique est le mieux ?

Il y a de nombreux types de sauts qui existent. Votre premier travail est donc de choisir celui qui vous fait rêver. Par exemple, l’activité la plus courante est un saut seul, mais il est possible de sauter en tandem.

En Haute-Savoie, j’ai même vu à Saint-Jean-de-Sixt (à 30 minutes d’Annecy environ) des sauts à élastique alors que vous démarrez depuis un trampoline ou que vous êtes à vélo ou à luge.

La base de départ à son importance. Les reliefs naturels savoyards permettent d’avoir de beaux tremplins, alors que dans les plaines, le départ se fait souvent à partir d’une grue. D’autres cadres fantastiques comme les viaducs sont également possibles.

À quelle période de l’année réaliser son saut à Annecy ?

Les sociétés proposant ce type d’activité n’opèrent pas toute l’année. Un saut à l’élastique à Annecy est possible entre la fin du printemps et l’automne.

Comme j’habite dans la région, je préfère le printemps et évite ainsi tous les touristes estivaux. En plus, les températures sont plus clémentes sur le tremplin à cette période de l’année.

Sachez que l’activité est dépendante de la météo. Si un orage est prévu, vous ne ferez (heureusement) pas votre saut.

Dans quel cadre naturel faire son saut à Annecy ?

En tant que passionné de nature, j’élimine de l’équation tous les sauts à l’élastique qui se font en ville sur des grues et avec une visibilité limitée. Selon moi, les émotions du saut à l’élastique sont ressenties à 80% avant le saut.

Bien sûr, vous avez une appréhension. La première fois, elle est très forte voire quasiment paralysante, puis par la suite, elle diminue sans s’envoler totalement.

Mais, les émotions sont également là quand vous accédez au tremplin. La montée et la vue qui s’offre à vous me procurent un curieux mélange entre l’excitation et la crainte. Vos yeux sont servis et immortalisent toute une série de souvenirs.

Je vous recommande donc de faire votre saut à un lieu où vous avez soit une vue sur les massifs alpins dont le Mont Blanc, soit sur le lac d’Annecy.

Quelles sont les conditions demandées pour pouvoir sauter ?

Tout le monde ne peut pas faire du saut à l’élastique. Les conditions dépendent de la société. Cependant, vous retrouvez souvent un âge et un poids minimal et pour les personnes âgées, une obligation de fournir un certificat médical.

Contrairement au saut à parachute, je n’ai jamais vu de poids maximal pour pouvoir sauter.

Comment se préparer avant le saut ?

Maintenant que vous avez choisi et réserver votre saut à l’élastique, il est temps de se préparer à son saut à l’élastique.

Pour diminuer vos craintes, je vous conseille de vous informer sur les impressions de personnes qui ont déjà sauter à l’élastique. N’hésitez pas à poser des questions à l’agence ou à rechercher des vidéos en ligne qui expliquent comment sauter au mieux.

Juste avant le jour du rendez-vous, confirmez avec le moniteur la date, l’heure et le lieu.

Bien sûr, limitez la consommation d’alcool la veille, mais ne soyez pas à jeun pour autant. Si vous arrivez complètement fatigué car vous n’avez pas mangé depuis 24 h, l’activité risque d’être déplaisante. Comme les sportifs, privilégiez les sucres lents lors du repas précédent.

N’oubliez pas d’emmener les appareils requis pour filmer ou photographier vos exploits. Vos amis pourront se charger des clichés.